Les responsables de la future Ville des Jeux Olympiques annoncent que la qualité de l’air n’a jamais été aussi bonne : les responsables nient toute manipulation des données de la qualité de l’air.
Les autorités pékinoises ont été accusées d’avoir fermé les stations de surveillance de l’air dans les zones les plus polluées, en d’en avoir ouvert des nouvelles dans des endroits où la qualité de l’air est meilleure.
Le porte-parole du Bureau de Protection Environnementale de Pékin a déclaré que ce phénomène n’existait pas, et qu’il reposait sur un malentendu, lors d’une conférence de presse.
La pollution de l’air de Pékin, considéré comme l’une des villes les plus polluée du monde, est un problème majeur pour les athlètes des jeux olympiques.